Publireportage JNCE 2022
La Vallée du Bandama est un District de Côte d'Ivoire, qui a pour chef-lieu la ville de Bouaké. Avec une superficie de 28 530 km2 et une population estimée à 1 538 484 habitants en 2010 (densité : 53,9 hab./km2), le District est situé au centre du pays, entre les Districts du Woroba à l'ouest, des Savanes au nord, du Zanzan à l'est, des lacs au sud et du Sassandra-Marahoué au sud-ouest. Il regroupe deux régions distinctes : - le Gbêkê (les Baoulés) - le Hambol (les Tagbanas et les Djiminis) Avec une contribution d’ un peu plus de 3% du PIB, ce District abrite le plus grand marché de gros du pays et est en phase de réalisation d’une zone industrielle de 150 ha. En 3ème position au plan économique après Abidjan et le Bas-Sassandra, le potentiel économique du District reste important.
12H00 : Départ d'Abidjan aérogare F.H.B
15H30 - 17H30 : Side-Event à l'université Alassane Ouattara
20H00 - 22H00 : Dîner d'accueil
08H00 - 08H45 : Accueil et installation des participants
09H00 - 10H30 : Cérémonie d'ouverture (Bouaké - Chapiteau JNCE)
10H30 - 12H30 : Conférence Inaugurale
Thème: Politiques d'attractivités territoriales en matière d'investissement, cas du district
autonome de la Vallée du Bandama
Conférencier : Ministre-Gouverneur District de la Vallée du Bandama, Jean Claude KOUASSI
12H30 - 13H30 : Panel de haut niveau
Thème : La vallée du Bandama, vers une économie régionale et internationale : rôle du
secteur privé et de la diaspora
14H00 - 15H30 : Business Connect
16H00 - 18H00 : Bourse aux Projets
20H00 - 22H30 : Dîner de Gala et Remise des Awards Régionaux des Chefs d'Entreprise (ARCE)
09H00 - 11H00 : Panel 1 : Pôle industriel compétitif primaire
13H45 - 15H15 : Panel 2 : Culture & Tourisme
"(...) Dans le cadre de sa politique de développement territorial, la Côte d’Ivoire a élaboré une stratégie de transformation structurelle de l’économie par la promotion du secteur privé. Les objectifs des Journées nationales des chefs d’entreprises qui visent la valorisation des potentialités socio-économiques des territoires s’inscrivent parfaitement dans la vision de son excellence Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire".
"(...) C'est avec un réel plaisir que la ville de Bouaké, capitale du grand centre et coeur du pays baoulé, vous accueille à l’occasion de cette cinquième édition des Journées Nationales des Chefs d’Entreprises (JNCE)".
"(...) La Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI) figure au nombre des institutions qui ont toujours pris part à cette initiative de la première édition à ce jour. La CCI-CI a toujours apporté son appui institutionnel et technique pour la réussite de cet évènement qui s’inscrit parfaitement dans la vision de notre institution en matière de développement de la communauté économique en région. C’est le lieu d’adresser nos chaleureuses félicitations à Madame Nadine BLA, Commissaire Générale des JNCE, femme d’affaires émérite, une des nôtres, en sa qualité de membre élu de notre institution, pour avoir su pérenniser les JNCE et l’implanter dans le paysage des évènements économiques ivoiriens".
"(...) C’est avec un avantage certain que notre district a accueilli ce forum économique, qui nous a permis dans un premier temps de présenter notre organisation administrative, et dans second temps d’exposer nos perspectives pour faire de ce district le pôle économique le plus dynamique et attractif pour les investisseurs ".
Thème : La vallée du Bandama, vers une économie régionale et internationale : rôle du secteur privé et de la diaspora
"(...) L’objectif de la DGE est de faire en sorte que le secteur privé se développe partout en Côte d’Ivoire, y compris dans la Vallée du Bandama. Les résultats économiques probants passent par l’élaboration des politiques et des outils pour une gestion efficace de l’économie, l’analyse et la diffusion des informations sur tous les aspects de l’économie ivoirienne, la coopération régionale et internationale, et le suivi et l’évaluation des politiques et des performances économiques".
"(...) Tous les programmes d’accompagnement et les projets de CI PME dans ce District sont opérationnels : le montage de plan d’affaires ; les ateliers sur les impôts, la fiscalité et la formalisation des entreprises ; les ateliers sur la commande publique ; les ateliers sur le financement et les assurances ; les ateliers sur la transformation industrielle ; l’accès au centre multimédia pour les entreprises".
"(...) La diaspora ivoirienne se distingue des autres diasporas africaines en ce qu’elle est davantage tournée vers l’occident, contrairement aux autres diasporas africaines qui sont essentiellement intra- africaines".
"(...) Il faut mettre l’accent sur le renforcement des investisseurs locaux pour commencer. Il est important d’avoir des investisseurs locaux qui ont la capacité d’investir dans leur économie domestique. Avoir des champions régionaux et nationaux est extrêmement important pour contrôler l’économie domestique et permettre à cette économie d’être de plus en plus attractive. Car avant que les investisseurs internationaux ne viennent, il faut qu’il y ait des investisseurs locaux".
"(...) Investir dans un chef lieu donne des avantages, investir dans une petite localité tout autour du chef-lieu donne encore plus d’avantages. Et il ne faut pas hésiter à aller vers ces régions. Vu toutes les opportunités qu’il y a dans ce district, nous n’avons de cesse d’encourager les gens à y venir maintenant, car après ça va être la course".
"(...) Nous avons à
peine exploré 12 % de notre
sous-sol. La vraie Gold
Coast, c’est ici !
C’est environ 1500 emplois
directs et indirects qui vont être
créés. Cela nécessite une certaine
employabilité locale. Et
tout un écosystème doit se développer.
Les gens doivent se
saisir des opportunités qu’une
telle mine crée. Car, il faut que
le personnel mange, se vêtisse,
envoie ses enfants à l’école, se
loge et se divertisse. Or nous
faisons le constat qu’il y a un
déficit de logements à Dabakala.
Nous avons besoin d’un écosystème
où le personnel va être
encouragé à vivre sur le site".
"(...) Nous sommes là pour dire aux entreprises que le COCAN a beaucoup de besoins et que nous souhaitons que les opérateurs établis dans le Districts autonome de la Vallée du Bandama soient là pour capter ces besoins".
"(...) La SODEXAM a entamé un processus de certification pour l’aéroport de Bouaké, ce qui implique qu’il va devenir un aéroport international. Cela ne manquera pas d’avoir un impact sur l’activité économique de tout le district".
"(...) Notre activité de base, c’est de louer des entrepôts à nos commerçants. Mais nous gérons aussi les exportations des produits vivriers en émettant des bordereaux pour faciliter la circulation de nos camions afin d’éviter les tracasseries routières qui grèvent le coût des marchandises et provoquent la vie chère. Nos activités touchent à l’intermédiation entre nos commerçants et les grandes surfaces. Nous faisons également des études et du conseil pour ceux qui veulent se lancer dans l’activité de négoce".
"(...) Le FSA garantit l’accès aux ressources financières nécessaires pour la réalisation des projets sur la base d’un certain nombre d’instruments opérationnels. La Garantie est offerte sous diverses formes, mais les entreprises doivent pouvoir parler le langage des banques car il ne revient pas à celles-ci de les structurer. Donc l’entreprise doit être formalisée, elle doit pouvoir présenter un business plan, et avoir un apport en fonds propres de 20 à 30 %".
"(...) Un plan stratégique pour le développement intégré et harmonieux de la région du Hambol à l’horizon 2036 a-t-il été mis en oeuvre par le conseil régional. Des changements majeurs sont à opérer dans quatre domaines clés pour matérialiser ce plan stratégique : amélioration de la qualité du cadre de vie et protection de l’environnement, développement économique de la région, renforcement des infrastructures et des équipements socio-collectifs, et amélioration de la gouvernance locale, de la sécurité et de la protection civile.
"(...) Niakara est une terre en
friche. Tout est à faire !
Petite commune, sans usine
et sans industrie, la terre de
Niakara est riche de son sol
et de son sous-sol. Nous voulons
mettre cet atout à profit
pour attirer des investisseurs
dans l’agro-pastorale. Le barrage
de Kafiné, l’un des plus
grands d’Afrique de l’ouest,
est de ce point de vue un formidable
atout que nous avons
pour développer la riziculture,
la pisciculture et la pêche".
"(...) Katiola est une belle ville où il fait bon vivre. La ville dispose de beaucoup d’atouts et commodités. Mais cela reste insuffisant. Nous sommes venus chercher des opportunités pour développer l’hôtellerie, la culture, le tourisme et les activités de loisir. Au niveau du commerce, nous sommes en quête d’investisseurs pour réhabiliter le marché".
"(...) Fronan est une petite commune possédant un grand potentiel agricole. C’est une zone rurale qui dispose d’assez de terre. Nous produisons une grande quantité de noix de cajou. Mais nous voulons mettre un accent particulier sur le développement de la maïsculture. Le maïs concoure à l’équilibre alimentaire et nous voulons, avec le soutien de partenaires, investir fortement dans ce secteur...".
"(...) La SOGEDI a pour but de planifier,
de promouvoir, de concevoir, de
réaliser, de réhabiliter et de gérer les
différents chantiers. C’est cette nouvelle
structure qui est en charge désormais
du développement du tissu
industriel"
Nous avons pu déterminer en
urgence de nouveaux sites pour la
création de nouvelles zones industrielles.
Rien que dans ce district,
150 hectares ont été trouvés dont
100 sont destinés à l’industrie textile
et 50 autres pour d’autres types
d’industries. En plus de ces 150 hectares,
l’Etat a établi la main sur 573
hectares pour l’industrialisation du
District".
"(...) La BRVM qui est un organe central du marché financier régional a été créée pour apporter les capitaux longs aux projets de développement industriel, notamment tout ce qui concerne les infrastructures de développement économique".
"(...) La valeur des importations du textile en Côte d’Ivoire dépasse le milliard de dollars, soit 600 milliards de francs CFA. Mais moins de 10 % est produit en Côte d’Ivoire. Avec cette entreprise nous pouvons faire de grandes choses en Côte d’Ivoire".
"(...) Pour pouvoir avoir accès à certains financements, il est important que les acteurs puissent présenter des projets qui permettent aux institutions financières de les financer".
"(...) Sur 150 hôtels, on compte sur le bout des doigts ceux qui répondent aux normes exigées par le Ministère du Tourisme en ce qui concerne la Licence d’exploitation, les impôts et la fiscalité...Nous sommes confrontés au manque de formation du personnel hôtelier et de la restauration. Nous recevons des stagiaires avec un BTS en hôtellerie, mais qui ne connaissent pas les rudiments de ce travail. Dans ce contexte, il est difficile de les garder...Nous avons du mal à nous approvisionner en viande. Nous allons à Abidjan pour cela. Sur place, nous sommes contraints de travailler avec des fournisseurs qui sont dans l’informel, ce qui a un coût pour notre fiscalité".
"(...) Nous formons des artisans qui contribuent au développement du pays. Les débouchées sont de plusieurs ordres. Nous pourrions faire aussi de l’architecture et bien d’autres types de formations. Il serait opportun de se pencher sur le centre pour lui donner les moyens de remplir sa mission. » Cependant, les défis sont nombreux. Aussi, le centre est-il en quête de partenariats capables de booster son activité.Nous sommes ouverts au partenariat public privé. Nous avons de l’espace pour installer des unités de production. Nous avons en projet la construction d’un atelier de production, d’un four moderne, d’une unité de fabrication de briquettes pour la construction. Nous pouvons fabriquer des carreaux si nous avons des partenaires qui acceptent de nous accompagner. Nous voulons pouvoir vendre nos produits en ligne. Nous voulons un centre de loisir ainsi qu’un projet de galerie. L’objectif étant d’attirer les touristes et de réduire la pauvreté".
"(...) Ce qui conforte les institutions financières, c’est le besoin de structuration. Quand on crée autour d’une industrie culturelle et touristique un écosystème financier, il est beaucoup plus sain pour nous d’identifier pour chaque chaine de valeur un certains nombres d’étapes à financer. Lorsque nous avons des projets portés par des acteurs locaux et que nous avons une certaine visibilité dans l’écosystème qui part de la production jusqu’à la commercialisation, en passant par la mise en place d’unités de transformation, cela nous conforte".
SORO Vamara
CIDT
SAUHI Raymond
Distri-Centre
PROCHAZKA Maruska
Hôtel Mon Afrik
KOUAKOU Félicien
Scoops Bananord